Musée
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Repère culturel : Domingo Cisnéros, Jean-Pierre Aubé, Frances Adair McKenzie, Anne-Renée Hotte et David Lafrance.
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Je vois et je repère des œuvres fabriquées à partir d’os d’animaux. Je repère de la photographie et de la peinture inspirées des paysages des Laurentides.
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Je ressens du dégoût pour les œuvres de Cisnéros parce que je n’aime pas les ossements d’animaux. Par contre, je ressens de l’émerveillement devant les différentes photographies et surtout devant la grande peinture.
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Je fais des liens et j’interprète. Je considère que le thème de la forêt peut être aussi en lien avec la dimension psychologique de la forêt intérieure en lien avec les besoins tels que le contact avec la nature et l’air. On peut aussi interpréter le fait que la nature prend le dessus sur l’humain en ce qui concerne l’œuvre de la chemise par terre.
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Je comprends et je me rappelle que l’art contemporain peut amener à se questionner et à réfléchir sur les intentions de l’artiste.
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J’ai appris comment enlever la chair des animaux. L’art n’est pas toujours quelque chose d’achevé. J’ai appris qu’il y a différentes sortes d’arts. J’ai appris la différence entre l’art contemporain et l’art actuel. J’ai appris que le processus est aussi important que le produit final de la création.
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J’exprime mon esprit critique et esthétique. Le tableau et le bureau sont vraiment beaux. Le détail de la sculpture dans le bois apporte une touche d’élégance même si le bois est demeuré brut sans vernis. Le tableau est spectaculaire grâce à sa dimension, aux choix des couleurs et aux représentations de la nature.
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J’aime ou je n’aime pas. J’ai aimé les photos et les peintures parce que l’aspect esthétique m’attirait. Toutefois, je n’ai pas aimé les œuvres de Cisnéros parce que les matériaux m’inspiraient du dégoût.